• Alors qu'ils devisaient gaiement ...
    Mathilde : J'suis pas une prostituée ! J'suis secrétaire !
    Jack : Pas de différences

    Alors qu'ils se disputaient, une explosion se fit entendre non loin. Mathilde poussa un cri de peur, tandis que Jack reniflait l'air ambiant. Gorr, quand à lui, arracha un panneau planté la pour les besoins de l'action. Le chevalier blanc tira son épée au clair et Albrecht se contenta d'un petit sourire, révélant des incisives lisses et particulièrement menaçantes, la marque des vampasses, qui leur servait à mordiller leurs victimes, souvent des feuilles de salade ou des épinards, jusqu'à ce que mort s'ensuive. Elles leurs servaient aussi à mordre le cou des humains qu'ils souhaitaient transformer en vampasse.
    Jack : Ce doit être le "ça va ?", Entrez la dedans et grimpez, ils ne doivent pas vous trouver. Moi je passe par un chemin ou plus sur, ou plus discret, je sais pas encore, mais en tous cas plus rapide, et je vous attend la haut.

    Les quatres nouveaux-nés sur précipitèrent dans le bâtiment désigné, Gorr écrasant son panneau sur la porte, qui se révéla être ouverte. A l'intérieur, ils cherchèrent un moyen de sortir, autre que la porte, et tant qu'à faire pour monter retrouver l'Eventreur.
    Mathilde : Bon, tachons de s'entraider ... qui a un truc qui pourrait être utile ... tient, y a des caisse la bas, si on les escalade, on pourra arriver en haut sans problèmes
    Albrecht : Passe devant, alors
    Mathilde : Ça va pas ? Je suis en jupe, moi ! C'est hors de question que je grimpe alors que vous êtes en dessous !
    Gorr : Passe devant, on va pas te manger
    Chevalier : Non, les demoiselles ne doivent pas être lésées comme vous le faites ! Je vais passer en premier !

    Profitons pour décrire plus en détails les braves vampasses qui découvrirent les difficultés d'une escalade malaisée sur des caisses d'au moins 1 mètre. En premier, le chevalier blanc. pour les besoins de l'époque, il porte une casquette blanche ainsi qu'une veste blanche. Il porte aussi un pantalon survêtement blanc et des baskets ... blanches. Il a rangé son épée dans le fourreau qu'il possède sur son dos.
    Ensuite, Gorr s'est décidé à grimper. Il a les cheveux coupés très courts, le visage rond, une veste en cuir et un air de bagarreur fini.
    Derrière lui vient Albrecht, un exemple particulièrement frappant de stoïcisme drapé dans une cape faisant penser à celle d'un vampire d'un mauvais film d'horreur ... en noir, donc.
    Enfin, Mathilde, jeune femme qui, si elle avait vécu des millénaires plus tôt, aurait fait déplacé des armées, par exemple pour détruire Troie, habillée d'une jupe noire, d'un T-shirt rose et de longs cheveux bruns. Inutile de dire qu'aucune armée ne se déplace...

    Ils étaient en haut et commencèrent à discuter alors qu'ils avançaient, cherchant des yeux Jack the ripper.
    Gorr : Au fait, il parlait de quoi en disant Ça va ? Il voyait bien qu'on allait tous bien
    Albrecht : Je pense qu'il parlait d'un groupe qui s'appelle comme ça
    Chevalier : Le "Ça va ?" ? C'est con, comme nom !
    Albrecht : Pas plus con que Maurice chevalier
    Chevalier : M'appelle pas comme ça...
                     "On m'appelle le chevalier blanc
                      Je vais et je vole au secours d'innocents !"

    Jack : Faites pas tant de bruit, les gars du "Ca va ?" sont dans le coin

    Mathilde poussa un cri de surprise devant cette apparition soudaine et failli s'empaler la main sur des outils de crochetages qui avaient été obligeamment posés la sans qu'on sache exactement pourquoi, tandis que Jack s'expliquait.
    Jack : Ouais, j'ai réussi à développer quelques dons en oubli, on devient trop insignifiant pour être repérés par les autres, ça aide a camoufler les autres pouvoirs ... Bon, avancez, y a une porte récalcitrante, ouvrez la, je vous attend à l'intérieur car je serait entré en pétant une vitre.
    Gorr : Et pourquoi on peut pas t'suivre ?
    Jack : Parce que faut bien que vous appreniez à vous débrouiller un peu tout seuls, les amis.

    Ils s'installèrent donc devant la porte en question, se donnant tour à tour les outils de crochetage afin d'ouvrir la porte. Quelques minutes plus tard, alors que Mathilde s'était endormie et qu'Albrecht s'était assis sur elle pour observer les deux autres s'acharner devant la porte, le chevalier blanc laissa échapper un juron.
    Chevalier : Merde ! les crochets sont restés dans la porte, alors que j'ai la poignée dans la main ...
    Gorr : Pousse toi, j'vais t'l'ouvrir cette porte !
    Et il donna un coup d'épaule dans la porte, qui s'ouvrit sous la pression.
    Albrecht : Bah voila, c'était pas si dur, en fait

    La sale mite se leva et donna un coud de pied dans les côtes de la jeune femme endormie, et tous entrèrent dans la salle, ou les attendait Jack.
    Jack : Ah, bien, vous êtes entrés ... maintenant, faudrait prendre cette porte, derrière laquelle se trouvent des mecs du "Ça va ?", donc vous servirez de diversion pendant que je me les fait en héros, okey ?
    Jack s'évapora de leurs esprits pendant que Gorr fracassait cette nouvelle porte.


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  • Les quatres compagnons suivaient Jésus dans les coulisses du théatre en écoutant le récit d'un monde dont ils n'avaient pas idée jusqu'alors.

    Jésus : Je suis Jésus DeLaCroix, prince des Vampasses d'Evreux ...
    Gorr : Vampasse ? Vampire, non ?
    Jésus : Quoi ? Des vampires ? Mais ça n'existe pas, voyons !
    Gorr : Bah ... c'est quoi, des vampasses, alors ?
    Jésus : Les vampasses sont les créatures de la nuit, qui gouvernent le destin des humains et des crevettes, ainsi que du pain ... les plus puissants d'entre nous arrivent à contrôler les premiers, bouffer les secondes sans s'enerver, et même multiplier les derniers ! Mais ils n'y a que deux vampires capable d'un tel acte.
    Mathilde : Bouffer des crevettes sans s'énerver ? On signe ou ?
    Chevalier : Et pour ce qui est de la loi ?
    Jésus : Vous devez suivre la loi humaine, plus les traditions vampassiques, qui sont au nombre de trois : La tradition pas marante est la plus importante, elle consiste à éviter autant que possible d'utiliser vos dons, pour éviter que les humains se foutent de vous
    Albrecht : Comment ça, se foutent de nous ?
    Jésus : Réfléchissez, un peu ! Vous, par exemple, votre pouvoir vous permet de faire croire aux gens qu'ils sont entourés de bisounours ... Ça peut être utile, mais c'est ridicule.
    Gorr : Au fait, c'est quoi, nos pouvoirs à tous ? Et pourquoi on à pas les mêmes ?
    Jésus : Vous faites pas tous partie du même clan. Votre dame, par exemple, fait partie du clan des Torréfacteurs. Dame, je pense ne pas trop me tromper en disant que vous aimez faire du sport et pratiquer des activités dangereuses ?
    Mathilde : Moi ? Non, j'aime la musique et rester bien en sécurité chez moi ...
    Jésus : Heu ... bon ... enfin toujours est-il que vous serez capable de passer pour une vraie idiote quoiqu'il arrive ...
    Mathilde : Heu ... j'y arrive bien sans pouvoirs surnaturels ...
    Jésus : Messire en noir, j'ai commencé à vous décrire votre pouvoir, j'en profite pour vous dire votre clan : Vous faites partie des sales mites, les tueurs d'insectes venus d'orient ... me demandez pas le rapport entre les hobbies de votre clan et les bisounours, ce sont les mystères du sang qui ne nous sont pas révélés.
    Gorr : Et moi, s'quoi mon pouvoir ?
    Jésus : un peu de patience, mon brave ... Tu es un Brugeois, tu fait partie d'un clan venant de la ville correspondante, en Belgique, et tes pouvoirs sont basés sur les frites, comme n'importe quel Belge qui se respecte
    Gorr : Mais je suis pas belge
    Jésus : Les pouvoirs des vampasses traversent les frontières... Quand à vous, homme en blanc, vous êtes un gangster, du noble clan éponyme.
    Mathilde : drôle de nom, pour un clan
    Jésus : C'est bien de s'essayer à ses pouvoirs ... Les gangsters se réunissent en ...
    Gorr : En gang ?
    Jésus : Non, en meute, car ils sont proche des animaux ... leurs pouvoirs leur permettent de parler comme des animaux, ainsi que de se transformer en des trucs qu'on a pas encore identifié, mais en tous cas vachement classe...

    En leur disant tout cela, DelaCroix les menait doucement, mais surement, vers la sortie. Il les mit à la porte après leur avoir donné une mission de la plus haute importance :
    Jésus : Allez trouver un endroit ou pioncer, et faites une connerie qui me foute en rogne avant de revenir.

    Dehors, un vampasse les attendait. Il était grand, portait un un chapeau haut de forme et un monocle. il s'adressa aux jeunes vampasses perdus :
    Vampasse : Salut les jeunes ! Vous voulez boire quelque chose ?
    Albrecht : T'es qui, toi ?
    Vampasse : On m'appelle Jack, j'aide les nouveaux quand ils sont perdus
    Chevalier : Tu aide donc les gens, comme moi !
    Jack : Bah ouais, généralement les nouveaux ont de la tune, j'voit pas pourquoi j'aiderait des inconnus sinon.
    Chevalier : Au nom de la justice !
    Jack : La justice ? On est des vampasses, pas des cons d'humain.
    Mathilde : Tu veux nous aider pour quoi ?
    Jack : Déjà, sachez que les vampasses craignent ...
    Gorr : Le soleil ? Les flammes ? l'eau vive ? L'ail ? Les chants de Céline Dion ?
    Jack : Mais non ! Tu te prends pour un vampire ou quoi ? Enfin, remarque, te jette pas dans les flammes pour autant, ça fait mal quand même. Non, les vampasses craignent avant tout les maux de ventre, à force de boire ces cochonneries de sang d'humain et d'utiliser des pouvoirs qui font peur à grand-maman. Donc, pour empecher ça, on se trimballe toujours avec des médocs. Sinon, faites bien gaffe aux loutres-garou, parce qu'elles peuvent vous décaniller d'un coup de dent. Au fait, vous vous êtes pas présentés, j'crois, bande de moules.
    Mathilde : Heu ... moi c'est Mathilde Alyosha, j'suis secrétaire.
    Jack : T'étais secrétaire, maintenant vaut mieux que tu oublies ton ancienne vie.
    Mathilde : Pourquoi, si on peut se balader au soleil ?
    Jack : Parce que t'as pas l'air de savoir écrire, et c'est con pour une secrétaire.
    Gorr : Je suis Gorr.
    Jack : Et ... c'est tout ?
    Gorr : Non, je suis pas belge, aussi.
    Albrecht : Albrecht von Karstein, dresseur de gigots
    Jack : Dresseur de gigots ?
    Albrecht : Boucher, d'accord.
    Jack : Et toi, le mec en blanc ?
    Chevalier : "On m'appelle le chevalier blanc
                      Je vais et je vole au secours d'innocents !"

    Jack : Ouais, mais ton vrai nom ?
    Chevalier : Hum... Maurice Chevalier, mais le répétez pas, hein.
    Jack : Bon, moi c'est Jack the Ripper... Non, aie pas peur, Mathilde, j'tue plus les prostituées.


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  • Tout commença par la rencontre d'un groupe, dans une taverne ... ah, non, dans un bar, y a que l'époque qui change ...

    Ce groupe est constitué d'une assemblée hétéroclite de quatre personnages. En effet, on peut y trouver un homme sombre, du genre qu'on lui demanderait pas l'heure derrière une lance de combat, se nommant Albrecht, un autre homme, qui lui est du genre à oublier de réfléchir, surtout quand il peut frapper quelqu'un qui se nomme Gorr, ensuite vient un homme habillé de blanc, que l'on peut entendre chanter quand vient l'injustice, qui se nomme lui-même le chevalier blanc, et enfin une jeune femme dont la beauté semble rayonner dans ce bar miteux, nommée Mathilde.
    Ce beau monde s'est retrouvé à la même table par manque de place ailleurs, et ils essayent d'engager plus ou moins la conversation, et voilà ce que ça donne :

    Mathilde : Bonsoir ! Moi c'est Mathilde, et vous ?
    Chevalier : Ah !
    "On m'appelle le chevalier blanc,
    je vais et je vole, au secours d'innocents ..."

    Mathilde : Enchantée ... et vous, vous êtes qui ?
    Gorr : Moi c'est Gorr.
    Mathilde : Heu ... ouais, super ! Et vous ?
    Albrecht : Qu'est-ce que ça t'intéresse ? J'suis juste assis là parce que j'ai pas d'autres places.
    Mathilde : Heu ... ouais, mais bon, on sait jamais, des fois qu'on s'rencontre à nouveau !
    Albrecht : Si on s'rencontre à nouveau, ce sera un hasard.
    Chevalier : Oh, tu peux donner ton nom, la demoiselle va pas te bouffer, que diable.
    Albrecht : Bon bon, d'accord ... j'm'appelle Albrecht ...

    A ce moment, une bagarre éclata dans le bar ... bon dieu, original, comme histoire, non ? Gorr se leva d'un bond et sauta dans la mélée, fracassant sa chaise sur un des combattants. Plus tard, il affirmera n'avoir rien contre cet homme, mais que sa chaise avait une furieuse envie de l'assommer. L'un des belligérants (Oui oui, c'est une guerre de bars) le ceintura et l'entraina hors du café.
    Pendant ce temps, les trois compères restés observaient les évènement.

    Albrecht : J'parie trois euros que le jeune punk là va se faire dégommer dans la minute.
    Chevalier : Tenu !
    Mathilde : Ohlala, magnifique crochet du concurrent breton, qui envoie le barman valser dans les chaises derrière lui, mais le keu-pon de la rue Chartraine envoie au tapis l'italien qui essayait de piquer une canette ... la bataille s'intensifie alors qu'un groupe de jeunes se jettent dans les tables, aidés par d'autres jeunes ... mais on dirait que la bataille se calme ... ça va faire une minute ... mais oh ! Formidable geste technique d'Albrecht qui a lancé une chaise sur le punk, qui s'effondre, surement assommé !
    Albrecht : Mes trois euros.
    Chevalier : Tricheur, t'étais pas sensé intervenir !

    De son côté, Gorr découvre un monde insensé, où il devient une bête vivant au crochet de l'humanité, tel un parasite.
    Gorr : Gnéééé
    Type : Je savait que ça te plairait, héhé ...
    Gorr : Oh, j'voit un éléphant mauve !
    Type : Bon, j'avais autre chose à te montrer, en fait
    Et le type lui fait perdre connaissance, avec la méthode ancestrale dite de la patate dans la face.

    Revenons donc pendant qu'il reprend ses esprits vers Albrecht, qui est allé se payer une bière avec son argent si bien gagné.
    Albrecht : Une bière !
    Barman : Désolé, monsieur, on a plus rien après la bagarre
    Albrecht le prend par le col et lui dit d'un air "Si tu me répond non j'te bute" : Ben va m'en acheter une, t'es serveur dans un bar, non ?
    Autre type : Lache le, j'aimerais te parler
    Albrecht : T'es qui ?
    Autre type : Un autre type, selon l'histoire
    Albrecht : Ah, tu me rassures ... bon, je vais te suivre, alors
    L'autre type l'emmène dans une ruelle sombre, ce qui convient parfaitement à Albrecht qui vois une occasion de dérouiller quelqu'un et lui piquer son fric, mais il se trouve que le type lui plante un flingue dans les côtes et lui dit de se taire.

    Revenons aux deux autres protagonistes, qui semblent avoir des choses vachement importantes à se dire :
    Chevalier : ... et tu vois, à ce moment là, la situation était désespérée, et j'ai dut sauter du cheval... de la moto, d'ailleurs, et elle est allée s'écraser en plein dans le réservoir de pétrole.
    Mathilde : Waow ...
    Ouais, bon, pas si importantes que ça, en fait ... donc on va faire entrer le prochain type ... d'ailleurs c'est une femme.
    Femme : Oh ! Vous êtes le chevalier blanc ?!? Vous pouvez me chanter votre chanson ?!?
    Chevalier : Mais bien sur !
    "On m'appelle le chevalier blanc,
    je vais et je vole au secours d'innocents ..."

    La femme s'assied sans gène sur les genoux du chevalier, et après avoir tiré la langue vers Mathilde, commence à lui mordiller le cou.

    Mathilde hausse les épaules et se lève pour partir. Une fois debout, elle croise une autre jeune femme, qui regarde le chevalier et sa dame d'un air de dégout. Cette femme s'adresse à Mathilde :
    Autre femme : Vous les connaissez ?
    Chevalier, d'une voix étouffée par la fille appuyée sur lui : Tout le monde me connait, car
    "On m'appelle le chevalier blanc
    Je vais et je vole au secours d'innocents ..."

    Autre femme, sans se soucier du chevalier : Vous croyez que si on les imitait, ils arreteraient de se bécoter devant tout le monde ?
    Mathilde : Je ne crois p...
    Elle ne put finir car son interlocutrice lui sauta dessus et la mordit violemment au cou, ce qui fit perdre conscience à la jeune femme ... putain, pas résistante, la Mathilde...



    Les quatres se réveillèrent tous dans une salle de théâtre, pieds et poings liés, devant un type ressemblant fortement à Jésus et James Best, alias le Shérif Rosco P. Coltrane, ainsi qu'un tas de gens dont ils n'avaient rien a foutre. Mais les gens avaient l'air de se soucier d'eux.
    En effet, Jésus était en train de parler d'un vote...
    Jésus : Si vous voulez que les sires meurent, tapez 1, si vous voulez que ce soit les infants, tapez 2.
    A ce moment, un des gusses de l'assistance se leva :
    Gusse : C'est des conneries !
    Jésus : Plait-il, monsieur Neufs Rodrigez ?
    Neufs Rodrigez : On peut quand même pas condamner les infants, ils sont pas au courant ! Et puis la fille est mignonne.
    L'assemblée acquiesça vivement, il y eu une multitude de 1, et les quatre compagnons virent avec effarement Rosco mettre le feu aux quatres personnes qui les avaient plongés dans l'inconscience.
    Vlad+Chevalier : putain, mais éteignez les, ils vont foutre le feu à la salle !
    Jésus, par dessus le tumulte : Bon, maintenant cassez vous tous, sauf les quatres nouveaux, ou je lance Rosco sur vous.
    A ces mots, la masse des gusses s'éloigna dans une panique incontrôlée.


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